Dans un revirement spectaculaire, le palais présidentiel a énergiquement repoussé les allégations entourant le prétendu transfert imminent de l’ancienne première dame Sylvia Bongo Ondimba et de son fils Noureddin vers une villa à Libreville. Le Palais Rénovation a vigoureusement démenti ces rumeurs, qualifiées de « pur mensonge », mettant ainsi fin abruptement aux spéculations grandissantes.
Ce démenti formel, émanant d’une source haut placée (et appuyé par la diffusion de l’image ci-dessus par un activiste gabonais basé en France), intervient après que la nouvelle ait déferlé dans les médias, semant le doute et l’inquiétude au sein de la population, comme l’ont rapporté nos confrères de Gabon Média Time.
À peine quatre heures après la propagation de l’information, la Présidence de la République a pris la décision de faire taire les rumeurs qui prenaient de l’ampleur. Une source autorisée a qualifié les rapports de « ramassis de mensonges », soulignant ainsi l’engagement du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) à dissiper toute confusion susceptible de perturber la quiétude des Gabonais.
La déclaration concise mais significative illustre la détermination du CTRI à répondre aux inquiétudes légitimes de la population, s’opposant catégoriquement à tout scénario de transfert.
Écartant toute spéculation philosophique, une source autorisée a martelé un cinglant « c’est faux ». Cette réplique brève mais cruciale témoigne de l’attachement du CTRI à la stabilité du pays, alors que des rumeurs sans fondement menacent de semer la confusion.
La situation complexe de Sylvia Bongo Ondimba, accusée d’implications dans une organisation de malfaiteurs, est également abordée, tout comme les allégations contre son fils Noureddin Bongo Valentin et sa prétendue implication dans une équipe de collégiens perturbateurs.
Dans cette saga intrigante, le démenti formel du palais présidentiel apporte un éclairage nécessaire, dissipant les nuages de spéculations qui menaçaient de prendre des proportions incontrôlables. La vérité émerge, réaffirmant la stabilité du gouvernement et rassurant la population quant à la préservation de l’ordre et de la sécurité nationale.
