La Cité de la Démocratie, autrefois laissée à l’abandon, connaît une véritable renaissance sous l’impulsion du Président de la Transition, Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema. Cet emblème historique, témoin de grands moments de l’histoire du Gabon, retrouve son éclat grâce à un ambitieux projet de réhabilitation.
Construite en 1977 par la société yougoslave Energoprojeckt, cette infrastructure avait été un fleuron du patrimoine gabonais, accueillant notamment le 14ᵉ Sommet de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA). Rebaptisée en 1990 en hommage à l’instauration du multipartisme, elle avait été laissée en ruine sous le régime précédent, transformée en un projet avorté de terrain de golf. Aujourd’hui, ce lieu reprend vie, symbole de la volonté de restauration de la dignité nationale.
Avec l’expertise de la société turque SUMMA, reconnue pour ses projets prestigieux sur le continent, les travaux de réhabilitation avancent rapidement. L’ambition est claire : faire de la Cité de la Démocratie un centre moderne, aux standards internationaux, destiné à accueillir des conférences, des événements diplomatiques et culturels majeurs. Le projet inclut une salle de conférence de 3 000 places, un centre présidentiel, une clinique, des villas présidentielles, deux héliports, et des infrastructures sportives.
Pour Brice Clotaire Oligui Nguema, cette restauration n’est pas qu’un simple projet d’infrastructure. Elle incarne une vision forte : réhabiliter le patrimoine national et repositionner le Gabon comme un acteur majeur sur la scène internationale. En redonnant vie à la Cité de la Démocratie, le Président de la Transition fait un pas de géant vers la redynamisation des infrastructures stratégiques et le rayonnement régional du pays.
La renaissance de la Cité de la Démocratie témoigne de l’engagement du Chef de l’État à inscrire le Gabon dans une dynamique de modernité et de souveraineté. Ce lieu, autrefois témoin d’un gâchis monumental, devient aujourd’hui un symbole de résilience et d’espoir pour tout un peuple.
