La ministre de l’Éducation nationale, Camélia Ntoutoume Leclercq, a récemment expliqué les raisons derrière la décision de fixer à 12 la moyenne au premier cycle et à 11 au second cycle pour l’attribution des bourses, lors de son entretien sur Gabon 24. Cette clarification vise à informer l’opinion publique sur la logique qui sous-tend ces critères.
Interrogée sur le choix de ces moyennes spécifiques, la ministre a souligné la volonté de promouvoir l’excellence éducative. Selon elle, fixer la barre à 12 au premier cycle, de la 6e à la 3e, permet d’encourager les élèves à donner le meilleur d’eux-mêmes. Cette bourse récompense ainsi les élèves qui se distinguent par leurs résultats académiques exceptionnels.
Camélia Ntoutoume Leclercq a insisté sur l’idée que cette bourse à 12 vise à créer une émulation saine, incitant les apprenants à se surpasser et à s’investir davantage dans leurs études. Elle a souligné que cette récompense valorise ceux qui ont bien travaillé, créant ainsi un environnement où l’excellence est encouragée et célébrée.
Pour le second cycle, de la seconde à la terminale, la moyenne requise est de 11. La ministre a expliqué que cette décision prend en compte les défis et les exigences plus élevées auxquels font face les étudiants à ce stade de leur éducation. Cette approche vise à équilibrer les critères tout en encourageant toujours la recherche de l’excellence.
Cette clarification intervient dans le cadre d’une démarche transparente visant à informer le public sur la logique derrière ces critères de bourse, soulignant l’engagement du gouvernement en faveur d’un système éducatif axé sur la qualité et l’encouragement de l’excellence académique.