Dans le cadre d’une entreprise de rénovation partielle des voies secondaires de la cité SNI, nichée dans la commune d’Ovando, au sud de la capitale gabonaise, des travaux ont été lancés sur deux fronts majeurs. Cependant, dès le seuil de l’entrée principale du carrefour SNI, les études préliminaires ont mis en lumière une série de problèmes préoccupants.
« Nous avons constaté plusieurs difficultés lors de l’évaluation de la buse en place à ce moment-là, avant même d’entamer les travaux. La buse métallique en service avait non seulement atteint sa limite de durabilité, mais également le chemin d’évacuation en aval était gravement obstrué », a révélé un responsable du chantier, exprimant ainsi les défis rencontrés.
Selon ce professionnel du secteur des Travaux Publics, cette situation risque de se détériorer davantage si aucune action décisive n’est entreprise. D’un côté, un imposant édifice bloque désormais le cours d’eau, tandis que de l’autre côté, un terrain séparant le magasin CK2 du camp de la gendarmerie serait revendiqué par un ressortissant étranger.
À cette heure, les équations à résoudre sont d’une complexité redoutable. Peu importe la nature des ouvrages envisagés, tant que le problème d’écoulement en aval ne sera pas résolu, les efforts consentis sembleront vains.
Cette situation met en exergue l’importance cruciale d’une approche méthodique et coordonnée dans la résolution des défis d’infrastructures urbaines. Sans une résolution efficace de ces obstacles, la réhabilitation des voies secondaires dans la cité SNI demeure incomplète et potentiellement inefficace.
Les autorités compétentes sont appelées à agir avec célérité et détermination pour dénouer ces problèmes, garantissant ainsi la sécurité et la mobilité des résidents de la cité SNI.
