Dans un acte décisif visant à restaurer la souveraineté économique du Gabon, le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, a pris la décision historique de permettre au pays de reprendre le contrôle de son secteur pétrolier. Cette mesure a donné un nouvel élan à la Gabon Oil Company (GOC), faisant d’elle un acteur incontournable de l’industrie pétrolière nationale.
La GOC a récemment réalisé plusieurs acquisitions majeures, notamment l’obtention des Droits sur le puits Mboumba auprès de Perenco, ainsi que l’acquisition d’Assala, et prochainement celle d’Addax Petroleum. Ces transactions stratégiques ont propulsé la GOC au rang de deuxième opérateur pétrolier du Gabon, renforçant ainsi la volonté des autorités de nationaliser le secteur, sous la direction éclairée du Chef de l’État, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema. Cette démarche revêt une importance cruciale, car elle permettra à la République de réaffirmer sa souveraineté dans un domaine vital pour l’économie nationale.
Actuellement, la GOC produit environ 20 000 barils par mois, mais ce chiffre est appelé à connaître une croissance significative dans un avenir proche, avec une projection pouvant atteindre près de 2 millions de barils par mois grâce aux récentes acquisitions. Cependant, le défi majeur pour les autorités du CTRI (Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions) réside dans l’instauration d’une gouvernance transparente et efficace au sein de la société nationale d’hydrocarbures. Il est essentiel de mettre en place une structure de gouvernance solide, avec des professionnels compétents, afin d’assurer la bonne gestion et la pérennité de cette nouvelle phase de développement du secteur pétrolier gabonais.
Cette démarche de nationalisation du secteur pétrolier constitue un moment historique dans l’histoire économique du Gabon. Elle offre à la nation gabonaise l’opportunité de reprendre les rênes de son destin énergétique et de valoriser pleinement ses précieuses ressources naturelles. Toutefois, la réussite de cette initiative dépendra largement de la capacité du gouvernement à garantir une gestion transparente et responsable des actifs pétroliers du pays, dans l’intérêt supérieur de la nation.