Brice Laccruche Alihanga (BLA) a été évacué en France dans un avion médicalisé, une initiative humanitaire mise en place par le Président de la République, qui a toujours soutenu son innocence. Cette décision renforce les accusations de cruauté et d’acharnement portées contre le système judiciaire gabonais.
Oligui Nguema, en sa qualité de dirigeant de l’opération Scorpion lorsqu’il était DG de la DGSS, est bien placé pour affirmer que les dossiers contre BLA sont vides. L’acharnement judiciaire dont BLA a été victime, malgré sa maladie, met en lumière les pratiques inhumaines du système judiciaire.
BLA n’est pas un criminel financier, sinon le Président n’aurait pas pris l’initiative de lui affréter un avion médicalisé. Pourtant, la justice gabonaise a ignoré son état de santé, enchaînant les audiences et le soumettant à des nuits entières de dépositions, ce qui l’a affaibli physiquement et psychologiquement.
Les verdicts biaisés et incohérents ont suscité de nombreuses polémiques et critiques au sein de l’opinion publique. La justice gabonaise est accusée d’acharnement et de manque d’humanité, transformant les audiences de BLA en un véritable calvaire.
La situation de BLA, gravement malade et affaiblie, a finalement nécessité une intervention médicale d’urgence. Cet épisode tragique soulève des questions cruciales sur les pratiques et l’intégrité du système judiciaire gabonais. La cruauté et l’acharnement doivent cesser, et la justice doit retrouver son véritable sens : celui de l’équité et de l’humanité.