Depuis le début de la Transition au Gabon, sous la houlette du Général Brice Clotaire Oligui Nguema, un vent de renouveau souffle sur le pays. Les réformes engagées visent à rebâtir les fondations d’un État moderne et inclusif. Mais à l’heure où le Gabon s’attèle à retrouver sa dignité sur la scène internationale, une poignée d’activistes expatriés continue de s’illustrer par des dérives verbales et des invectives. Loin de contribuer à l’amélioration du pays, ils préfèrent s’enfermer dans un activisme stérile, alignant injures, calomnies et provocations sur les réseaux sociaux.
À Paris, Montréal ou encore sur les plateformes numériques, ces « experts autoproclamés de la vérité » se lancent dans des diatribes sans queue ni tête, transformant leurs chaînes en tribunaux de la médiocrité. Leurs cibles ? Les institutions du Gabon et tous ceux qui osent soutenir les efforts de la Transition. Loin d’un débat constructif, on assiste à un spectacle affligeant d’égo surdimensionné, où la recherche de buzz remplace toute réflexion. Certains, pourtant, comme le fameux « Badecon en chef », ont fini par retrouver une once de lucidité après une rencontre avec les autorités gabonaises, prouvant que l’éveil reste possible.
Le peuple gabonais, quant à lui, ne se laisse plus berner par ce cirque numérique. Fort de son aspiration à un avenir meilleur, il soutient les efforts entrepris pour restaurer la discipline et la responsabilité. La Transition marque un changement de paradigme : un Gabon qui ne tolère plus la diffamation ni l’extrémisme mais prône l’écoute et la concertation. Les injures ne construisent rien, et les Gabonais l’ont compris. Ce qu’ils réclament désormais, c’est un débat sérieux, des solutions concrètes et une véritable union pour bâtir l’avenir. Les grandes gueules, elles, n’ont qu’à se taire.