Dans un geste de réaffirmation de l’engagement envers une transition démocratique inclusive, le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, a décidé d’accorder une semaine supplémentaire aux jeunes Gabonais âgés de 20 à 25 ans pour participer au dialogue national.
Cette décision intervient à la suite d’une réunion conjointe du gouvernement de transition et du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) au Cap Caravane, le 10 février dernier. L’objectif principal de ce séminaire préparatoire était de finaliser les préparatifs pour le Dialogue National inclusif, une étape cruciale dans le processus de transition politique au Gabon.
Le Président Oligui Nguema, conscient de l’importance de la participation des jeunes dans la construction de l’avenir du pays, a pris cette mesure exceptionnelle pour permettre à cette tranche d’âge de contribuer de manière significative au dialogue national. Cette extension de délai souligne l’engagement du chef de l’État en faveur d’un processus démocratique et inclusif, où chaque voix compte.
Il est à noter que cette prolongation de sept jours vient s’ajouter à une première extension de 30 jours décidée en décembre 2023 par le Premier ministre de la transition, Raymond Ndong Sima. Cette initiative témoigne de la volonté des autorités de garantir une participation élargie de toutes les composantes de la société gabonaise dans ce processus de transition démocratique.
Le dialogue national, prévu dans les semaines à venir, sera l’occasion pour les Gabonais de débattre de toutes les questions politiques, économiques et sociales qui contribueront à la restauration des institutions et à la rédaction d’une nouvelle Constitution. Cette démarche vise à impliquer l’ensemble des citoyens dans la reconstruction d’un Gabon démocratique et prospère.
En conclusion, l’octroi d’une semaine supplémentaire aux jeunes pour contribuer au dialogue national témoigne de la volonté du Président de la Transition et de son gouvernement de faire du Gabon un modèle de démocratie participative, où la voix de chaque citoyen est entendue et respectée.