Par l’entremise de plusieurs médias, Léa Bongo-Valentin a accusé les autorités gabonaises de violer les droits humains de Sylvia Bongo-Valentin et son époux Noureddin. Ces allégations ont été largement diffusées par le biais de plusieurs activistes, alimentant ainsi une controverse.
Cependant, selon des sources officielles, les conditions de détention de Sylvia et Noureddin Bongo-Valentin respectent pleinement les normes internationales en la matière. L’ambassadeur de France, par exemple, a récemment rendu visite à Noureddin et à sa mère, attestant du respect des droits humains dans leur lieu de détention.
Les affirmations de Léa Bongo-Valentin sont fermement contestées par les autorités de transition et à raison, car ses dires sont complètement déconnectés de la réalité. Cette dernière n’a pas respecté l’accord juridique paraphé entre les autorités gabonaises et britanniques. Léa Bongo-Valentin mène plutôt une vaste campagne de lobbying avec pour objectif spécifique de semer le trouble en menant en orchestrant une désinformation de l’information pour ternir l’image du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions « CTRI ».
Sylvia Bongo-Valentin et son fils Noureddin sont détenus dans des conditions qui garantissent leur sécurité et leur bien-être, en conformité avec les principes des droits humains.