Dans une démonstration éclatante de rigueur financière et de gestion économique avisée, le gouvernement de la Transition, sous la direction du Général Brice Clotaire Oligui Nguema, a réussi un exploit remarquable en réduisant la dette publique conventionnée du Gabon de 162,95 milliards de FCFA en seulement neuf mois.
Du 1er septembre 2023 au 31 mai 2024, les remboursements de la dette publique, orchestrés par la Direction Générale de la Dette, ont atteint un montant total de 857,92 milliards de FCFA. Cette somme impressionnante comprend 616,87 milliards de FCFA en capital et 241,05 milliards de FCFA en intérêts. En parallèle, les tirages, ou décaissements d’emprunts, se sont élevés à 453,92 milliards de FCFA, contribuant à un désendettement net significatif.
Cette évolution témoigne de la stratégie d’endettement rigoureuse définie par le Président Oligui Nguema et adoptée par le parlement lors du vote de la loi des Finances. Au 31 mai 2024, l’encours de la dette publique conventionnée de l’État s’établissait à 6.988,87 milliards de FCFA, marquant un tournant crucial dans la gestion économique du pays.
Le succès de cette politique de désendettement est d’autant plus notable lorsqu’on la compare à la situation de nombreux autres pays en transition. Alors que certains critiques se focalisent sur des retards de paiement mineurs, il est crucial de reconnaître que le Gabon, contrairement à d’autres nations comme le Mali, le Burkina Faso, le Niger et la Guinée Conakry, fait preuve d’une volonté ferme d’honorer ses dettes et de maintenir une gestion financière saine.
Il est également pertinent de se demander pourquoi la Banque de Chine, créancière du Gabon, reste silencieuse alors que la BEAC priorise les virements de la BIRD, de la BAD et de la Banque mondiale, renvoyant ceux destinés à la Banque de Chine malgré la disponibilité des fonds chinois. Cette situation soulève des questions sur les véritables motivations derrière les critiques et les suspensions de décaissements.
En fin de compte, le véritable scandale semble résider dans l’indépendance financière que cherche à obtenir le Gabon. Le Président de la Transition s’efforce de rendre au Gabon sa souveraineté économique en évitant les intermédiaires comme le FMI et la Banque mondiale, une démarche qui, bien qu’elle suscite des résistances, est essentielle pour l’avenir du pays.
Sous la houlette du Président Brice Clotaire Oligui Nguema, le Gabon continue de tracer son chemin vers la stabilité financière et l’indépendance économique. Les efforts déployés pour réduire la dette publique témoignent de l’engagement du gouvernement à bâtir un avenir prospère et souverain pour tous les Gabonais. Les critiques devraient se tourner vers ces réussites plutôt que de se concentrer sur des retards techniques mineurs, reconnaissant ainsi la véritable avancée du pays sous cette transition dynamique.