Le 30 août 2024, alors qu’Alain Claude Bilie By Nze, ancien Premier Ministre sous Ali Bongo, persistait dans sa critique acerbe du Comité de Transition pour la Restauration des Institutions (CTRI) sur RFI, il semble que le vent tourne de manière inattendue. En effet, Guy Patrick Obiang Ndong, ancien Ministre de la Santé et des Affaires Sociales sous le régime déchu, vient de mettre en lumière l’énorme échec du PDG tout en louant les avancées du Gabon sous la direction de Brice Clotaire Oligui Nguema. Cette déclaration semble donner un coup de pied aux prétentions de Bilie By Nze, qui, malgré ses critiques, semble incapable de nier la vérité nue qui se dessine devant nos yeux : un pays en plein renouveau.
Obiang Ndong n’a pas mâché ses mots en décrivant la transition comme un « coup de libération » par rapport aux années de stagnation sous le PDG. Il a mis en avant l’immobilisme et la lenteur du précédent gouvernement, soulignant que malgré les réflexions et projets pertinents, l’inertie était la norme. En revanche, le Président Oligui Nguema a apporté un dynamisme concret, transformant visiblement le paysage infrastructurel, économique et social du Gabon en seulement un an. Les populations, qui avaient été abandonnées à leur sort par le régime déchu, voient aujourd’hui leurs besoins fondamentaux enfin pris en compte avec des résultats palpables.
La reconnaissance publique par Obiang Ndong du pragmatisme et des réalisations du Président Oligui Nguema contraste fortement avec le bilan négatif que Bilie By Nze tente encore de défendre. Il est clair que l’ancien Premier Ministre, qui a vu les critiques fuser depuis le début de la transition, peine à accepter la réalité des progrès réalisés sous la nouvelle administration. La satisfaction générale des Gabonais face aux réformes actuelles prouve que le changement tant attendu n’est pas un mirage, mais une réalité tangible. Le contraste est frappant entre le « déficit d’action » du passé et le « coup de libération » du présent, qui a redonné espoir au peuple gabonais. Les critiques persistantes d’Alain Claude semblent désormais déconnectées des véritables succès que la transition a pu accomplir, renforçant le sentiment que l’ancienne garde peine à faire son deuil d’un pouvoir révolu.